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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 23:02

 

 

Oui je néglige ce blog en ce moment faute de temps.

J’ai été très malade. J’ai cru mourir. J’en suis bien revenue pour la contre-attaque.

Mais mon cœur reste fidèle à ma première passion...même si elle semble débile aux imbéciles qui ne connaissent pas le caractère relaxant de cette activité que je pratique bien sûr en faisant simultanément deux autres choses.

Comme le dit si bien ma fille : j’écoute la TV pas toujours passionnante avec les modèles les plus complexes. Mais j’ai toujours en réserve un truc basique en jersey pour lire.

Bien sûr tout ça ne m’empêche pas de réfléchir en même temps. Il paraît que je suis hyperactive. Mais noooooooooooooooooon……………. C’est juste une idée en l’air !

Je n’ai pas encore donné mon cœur-organe à un moribond, car musclé, je sais qu’il pourra sauver une femme un jour. Mon cœur-organe est petit.

Mais mon cœur-sentiment est grand. Il a beaucoup donné. A ceux que je ne connais pas, je fais un petit signe à travers les objets et surtout les tricots que j’ai offerts.

De petits ensembles concoctés avec amour – et humour – pour les bébés prématurés. Et des pulls en tous genres qui ne m’allaient plus ou ne me plaisaient plus. Vers 2005, j’ai aussi participé avec ma fille à la réalisation d’un Patchwork géant symbole de la lutte contre le SIDA. Ce patchwork a ensuite été partiellement décousu pour en faire des couvertures données aux sans-abri. J’ai cherché à le retrouver sur l’Internet, mais c’est difficilement possible. Quelqu’un parmi vous connaît-t-il (–elle) peut-être l’évènement auquel je fais allusion ?

J’ai fait ce que j’ai pu et ai encore à faire… bien de nouvelles choses à offrir et partager pour ma deuxième vie.

Ces quelques phrases pour vous signifier plus brièvement que ce blog va se retrouver en standby en ce qui concerne mon bénévolat car je n’ai plus de temps à y consacrer. Les calculs de tricot me prenaient pas mal de temps car les documents que j’envoyais étaient précis.

J’irai y jeter un coup d’œil de temps en temps juste pour défricher le terrain des mauvaises herbes qui l’ont envahi cette année.

Je vous remercie de votre participation et vous dis à bientôt sur d’autres longueurs d’ondes et sous d’autres cieux.

Ce n’est qu’un au revoir.

Salomé

Trouvé sur le blog de Jean-François Dortier

http://www.dortier.fr

 


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• Ce qui ne nous tue pas… nous rend-il vraiment plus fort ?

 Envoyer à un ami

Que penser de la formule selon laquelle « ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » ? Quand la vie vous donne un rude coup – accident, échec -, cela laisse toujours des cicatrices. Un rat soumis à des stress continus (chocs électriques, agressions) devient craintif, stressé, et développe des signes de dépression. Sa santé flanche. Il n’est pas mort, mais est devenu plus faible et fragile. Les humains sont aussi des primates, et leur réaction est identique. Les épreuves dont ils ne sont pas sortis victorieux laissent des traces. Il est connu et confirmé que les graves épreuves de la vie (accidents, deuil, maladie, licenciement…) ont un effet délétère sur le bien –être. Stress, dépression, maladies psychosomatiques et mal de vivre : tels sont les effets durables des coups durs. Pourtant, une étude vient relativiser ce phénomène.
Le psychologue Mark Seery, de l’université de Buffallo, aux Etats-Unis, a réalisé une enquête nationale auprès de près de 2 400 personnes (2 396 exactement), qui ont été interrogées régulièrement entre 2001 to 2004. M. Seery et son équipe ont découvert que le lien entre adversité et bien-être est plus complexe qu’il n’y paraît. Les chercheurs ont mesuré les liens entre les épreuves de vie et plusieurs mesures de santé mentale tels que le taux de dépression, les symptômes post-traumatiques ou simplement le sentiment de bien-être. Comme on peut s’y attendre, les personnes qui ont connu de graves épreuves sont plus souvent atteintes de troubles dépressifs ou se déclarent moins satisfaites de leur vie. « Cependant, note M. Seery, nos courbes ont une forme en U ». On observe en effet que les personnes qui au cours de leur vie ont connu des problèmes mineurs ou passagers, sont moins affectées que les autres (celles qui ont trop ou, étrangement… pas du tout connu de problèmes !).
Selon M. Serry, ce constat est cohérent avec l’idée qu’en proportion modérée, prendre quelques coups contribue tout de même à développer une certaine résilience. « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ? » Ce ne serait donc vrai que pour les petites claques, pas pour les gros chocs.

M. Seery et al. (2010) Whatever Does Not Kill Us: Cumulative Lifetime Adversity, Vulnerability and Resilience, à paraître dans le Journal of Personality and Social Psychology.
PS : j’ai publié ce post sur le cercle psy (sous pseudo). Mais je le reproduit car j’aimerais avoir votre avis.

 

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commentaires

P
<br /> Bonjour Salomé, ravie d'avoir eu de tes nouvelles bien que celles-ci ne soient pas tip top je te souhaite plein de belles choses pour ta nouvelle vie je t'envoie plein d'ondes positives et des<br /> milliers de baisers à bientôt j'espère!!!<br /> <br /> <br />
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